Les Vulves assassines n'ont pas mélangé new wave, punk rock, rap, drum'n'bass (et sûrement pas mal de trucs finissant par « core ») par pur plaisir du carambolage musical. Il leur fallait en effet toute la puissance sonique possible pour propulser leurs textes affûtés comme des rasoirs ; autant de cris à la gueule des prédateurs aux commandes ; autant de mots à vif pour évoquer le chômage, le consentement, l’IVG, la Commune, les gros muscles et bien sûr l’amour.
Si vous aimez : Miss Hélium, Stupeflip
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